6,8 en 2011
1,2 en 2025*
Plus la valeur est faible, meilleure est la sécurité.
01 policier / 1160 habitants
01 policier / 509 habitants
0 en 2011
40 en 2024
04 en 2011
11 en 2024
153 en 2011
203 en 2024
153 368 en 2011
314 310 en 2024
1 155 en 2011
16 382 en 2024
23 %
du salaire de base (2025).
46ème en 2011
16ème en 2024
51,85% en 2011
61% en 2024
dans le commerce régional (CEDEAO)
16% en 2011
32% en 2024
397 en 2011
1 042 en 2024
(en Millions USD)
2 083 en 2011
8 982 en 2024
55 980 en 2011
95 428 en 2024
294 en 2011
902 en 2024
3 en 2011
9 en 2024
55,97 ans en 2011
62,28 ans en 2024
12 Journées Nationales de l’Excellence Organisées
Plus de 800 lauréats récompensés
74 lauréats récompensés
18 112 milliards
de FCFA en 2011
de FCFA en 2025
19,5% en 2011
31,2% en 2024
840,6 milliards
de FCFA en 2011
4 880,2 milliards
de FCFA en 2025
11 495 419
tonnes en 2011
23 654 675
tonnes en 2024
1 511 250
tonnes en 2011
1 890 442
tonnes en 2024
238 717
tonnes en 2011
686 599
tonnes en 2024
6 514 km en 2011
8 500 km en 2024
142 km en 2011
389 km en 2024
327 en 2011
769 en 2024
3 en 2011
11 en 2024
1 391 MW en 2011
3 019 MW en 2024
12,3 t en 2011
59,12 t en 2024
0 km en 2011
31 604 km en 2024
2,1 millions ha
en 2011
2,5 millions ha
en 2024
19
3 millions ha
à l’horizon 2030
2 766 m³
en 2011
29 000 m³
en 2024
8 stades
de compétition dont ceux de la CAN 2023
+70
Sur tout le territoire
+30 %
par rapport à 2011
3 en 2011
7 en 2024
682,8 M FCFA en 2011
5,5 Md FCFA en 2024
6,3 millions
de visiteurs en Côte d’Ivoire
625 689
2018-2024
0% en 2011
96% en 2024
60% en 2011
96% en 2024
5% en 2011
50% en 2024
200 milles
en 2011
34,5 Millions
en 2024
« Aujourd’hui, la paix et la sécurité sont une réalité, la Côte d’Ivoire est un havre de paix et de stabilité, un pôle de confiance et un modèle de développement. »
Extrait du Discours du Président Alassane OUATTARA, 06 août 2025
Le secteur de la défense présentait en 2011, un état de délabrement quasi-généralisé consécutif à la crise post-électorale.
Le ratio gendarme-population était en dessous des normes internationales, l’armée était vieillissante, avec une moyenne d’âge élevée pour le personnel, le taux d’encadrement en décalage avec les standards internationaux, les équipements vétustes, un budget déséquilibré et un personnel démotivé, pour ne citer que ces problèmes.
Aujourd’hui, en 2025, des actions claires ont été posées pour répondre aux défis identifiés et les conditions de vie, de travail et de formation des hommes ont été améliorées.
De 2011 à 2025 :
En 2011, la situation du secteur de la Fonction Publique était marquée par des problèmes de gouvernance, une disparité homme-femme, une forte démotivation des agents, et des lenteurs administratives qui impactaient négativement la la qualité des services délivrés aux populations.
Des actions majeures et des réformes ont donc été entreprises sur la période 2011-2025, et le nombre de fonctionnaires est passé de 153 368 en 2011 à 314 310 en 2025.
Vingt mesures d’initiatives de revalorisation salariale ont aussi été menées sur la période 2013-2024 pour un impact cumulé de 3 709,66 Milliards FCFA.
Et avec le déblocage des salaires après 25 ans, les salaires bruts minimums, tous secteurs confondus, ont évolué de 103 % sur la même période.
L’évolution de l’indice de parité passant de 43 femmes pour 100 hommes en 2014 à 63 femmes pour 100 hommes en 2023, est à saluer.
Et la Côte d’Ivoire occupe la 16 ème place à l’indice Mo ibrahim avec la note de 65/100 en matière d’efficacité administrative en 2023.
Depuis 1999, les relations de la Côte d’Ivoire avec l’extérieur se sont considérablement détériorées du fait des graves crises (coup d’état militaire de 1999, crise militaro-politique de 2002 et crise post-électorale de 2010). La diplomatie était peu dynamique et caractérisée par :
Mais dès 2012, les efforts diplomatiques entrepris ont permis d’améliorer l’image de la Côte d’Ivoire et de la repositionner sur la scène régionale et internationale, aux niveaux politique, économique et social.
Les principales actions initiées dans ce cadre ont produit les résultats suivants :
La diplomatie économique proactive a aussi permis d’attirer des investisseurs dans les secteurs du pétrole, du gaz et des infrastructures. Et la grande orientation stratégique des Objectifs de Développement Durables (ODD), pour le secteur de la coopération internationale, a permis la mobilisation des ressources extérieures à plus de 6 893 milliards de Francs CFA et la signature de plusieurs accords de financement.
Le Président de la République a été désigné champion pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063, au niveau de l’Union Africaine, et la part de marché de la Côte d’Ivoire dans le commerce régional (CEDEAO) est passée de 16% en 2011 à 32% en 2024.
Promotion de la Jeunesse, Insertion professionnelle et Service civique
Une administration portée sur la jeunesse et dont les actions ont très vite été concluantes. Si en 2011 cette jeunesse faisait face à de nombreux défis tels que :
Une faible participation au processus de développement et à la vie citoyenne, un taux de chômage élevé et aggravé par l’insuffisance des dispositifs d’insertion professionnelle.
En 2025, le visage de la jeunesse est tout autre avec des réformes majeures qui ont pu conduire à la création d’un Ministère dédié à l’Emploi des Jeunes, à la mise en place du Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI) en 2017 et à la création de l’Agence Emploi Jeunes (AEJ).
Ainsi, ce sont :
Education
En 2011, le système éducatif ivoirien était marqué par un bas nombre de classes au préscolaire et primaire public, des collèges et lycées publics principalement présents en milieu urbain, et un déficit important des enseignants du secondaire, et un taux d’achèvement du secondaire très insuffisant.
Aujourd’hui, en 2025, ce sont :
Le taux d’achèvement du collège est passé à 81,14% en 2024, soit une hausse de 48,14 points.
Et 30 862 enseignants ont été recrutés entre 2011 et 2024 dont 20 384 professeurs de collège et 10 478 professeurs de lycée, soit une moyenne annuelle de recrutement de 2 205 enseignants par an
Un montant de 15,2 milliards de bourses a été versé à 442 652 élèves de 2011 à 2025.
Pour ce qui est du secteur de l’enseignement supérieur,
le pays ne comptait que 03 universités publiques, 02 Unités Régionales d’Enseignement Supérieur (URES) et 03 grandes écoles publiques (INPHB, ENSEA, ENS).
Santé et Protection Sociale :
De 2011 à 2025, la proportion de la population vivant à moins de 5 km
d’un centre de santé a augmenté et est passée de 66% à 82%.
Les ivoiriens bénéficient aussi d’une plus grande couverture médicale avec l’augmentation du nombre de médecins, d’infirmiers et de sages femmes pour chaque habitant. Et avec la CMU, ce sont 20 012 861 personnes enrôlées et 7 221 568 de cartes de CMU distribuées et en cours d’utilisation.
De 2011 à 2025, ce sont 1139 Établissements Sanitaires de Premier Contact (ESPC) construits et 937 réhabilités.
Concernant les hôpitaux généraux, de 78 en 2011, il y en a maintenant 109, et 76 ont été réhabilités sur la même période, et 10 sont en cours de construction. Au total, ce sont 05 CHR construits, 19 réhabilités et 04 en cours de construction.
La construction du CHU d’angré en 2017, et la réhabilitation de 04 autres s’inscrivent aussi dans la volonté de faciliter l’accès aux soins des populations.
Cette démarche a contribué à la mise en œuvre de la gratuité ciblée des soins pour les femmes enceintes et les enfants de 0 à 5 ans.
Entre 2022 et 2024, 1 258 825 kits d’accouchement et 141 343 kits de césarienne par an entre 2022 et 2024.
La recherche scientifique a été boostée avec l’ouverture et la mise en service de 02 centres de recherche : l’Institut de Médecine Nucléaire d’Abidjan et le Centre National de Radiothérapie Alassane OUATTARA d’Abidjan.
Emploi
En 2011, le taux de chômage était estimé à plus de 5% avec une forte prévalence du sous-emploi touchant plus de 60% des travailleurs actifs.
Les valeurs du travail, du mérite et de l’excellence sont au cœur de la devise nationale. Depuis 2013, elles sont exaltées à travers la ré-institution des Journées Nationales de l’Excellence.
Ce sont donc douze (12) éditions organisées chaque année, pour récompenser les hommes et femmes, les structures administratives et privées qui participent par leur talent et leur génie, à l’œuvre de construction du pays.
Institué en 2013 par le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, le Prix National d’Excellence (PNE) s’inscrit aussi dans sa grande vision de bâtir une Société d’Excellence au service d’une Nation Solidaire. Et ce prix a pour vocation de célébrer le mérite, l’engagement et l’innovation des citoyens ivoiriens œuvrant dans divers secteurs et domaines d’activités (défense, communications sport, éducation, santé, technologie, etc..), dans le but de promouvoir l’émergence de nouveaux talents et d’encourager l’excellence professionnelle.
Et depuis son instauration, plus de 800 lauréats ont été récompensés.
Ainsi, pour l’année 2025, 74 lauréats ont été distingués ce jeudi 02 Août après une rigoureuse sélection.
Ils ont reçu du Chef de l’Etat, un trophée, un diplôme et un chèque d’un montant de dix millions de francs CFA. Ils proviennent des secteurs public, privé et de la société civile et sont répartis comme suit :
En 2011, la Côte d’Ivoire faisait face à plusieurs défis au niveau économique.
Les politiques publiques ne bénéficiaient pas d’une planification stratégique systématique, les performances économiques étaient limitées et le taux de pauvreté élevé, avec plus de la moitié de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté après la crise post-électorale.
Toutefois, au sortir de la crise, la Côte d’Ivoire sous l’impulsion de son président a fait un choix audacieux pour son économie : celui du progrès.
Et notre pays a réalisé des performances significatives : un cadre macroéconomique maîtrisé, une croissance économique soutenue de plus de 7% en moyenne. Ainsi, le PIB nominal est passé de 18 112 Milliards de FCFA en 2011, à 57 577 Milliards de FCFA en 2025.
Le taux d’inflation a baissé et est passé de 4,9 en 2011 à 3 en 2025 (prévisionnel), grâce notamment à une série de mesures vigoureuses pour maîtriser les prix des produits et améliorer l’offre sur le marché local.
Concernant le commerce, 06 marchés de détail et de gros ont été réhabilités, et 40 marchés de proximité ont été construits dans les localités de l’intérieur, pour améliorer l’écoulement des produits.
Le volume des échanges commerciaux est passé de 8 406,2 milliards de FCFA en 2011, à 24 555,89 milliards de FCFA en 2024, avec un solde commercial positif de 1 000,89 milliards de FCFA en 2024.
En 2023, la Côte d’Ivoire s’est classée parmi les dix premières destinations des IDE (Investissements Directs à l’Etranger) en Afrique (Rapport CNUCED).
En 2011, l’agriculture ivoirienne, pilier de l’économie nationale, se trouvait à un tournant décisif. Le secteur, bien qu’essentiel, souffrait de nombreuses faiblesses structurelles. Mais depuis 2011, grâce à des réformes ambitieuses et à des investissements ciblés, le secteur agricole s’est imposé comme un levier stratégique du développement économique et social de la Côte d’Ivoire.
Premièrement, la production vivrière a doublé et est passée de 11 495 419 tonnes à 23 654 675 tonnes.
La production de cacao est passée de 1,51 million de tonnes en 2011 à 1,89 million en 2024 avec un pic à 2,36 millions en 2022, malgré l’impact d’El Niño (phénomène océanographique) en 2023.
Le taux de transformation locale a atteint 754 218 tonnes en 2024, soit une hausse de 83 % par rapport à 2011. Et depuis 2011, le système de commercialisation a permis de garantir un prix minimum correspondant à au moins 60% du prix CAF conformément aux instructions du Président de la République. Pour la première fois, le prix aux producteurs a franchi la barre des 1800 FCFA le kilogramme.
En tant que premier pourvoyeur d’emplois et moteur des exportations, l’agriculture a contribué à la stabilité sociale, à la réduction de la pauvreté en milieu rural et à la sécurité alimentaire. Le Ministère entend poursuivre et approfondir la transformation du secteur agricole.
Les femmes, les enfants, les personnes en situation de handicap et les familles ou personnes vulnérables ont été significativement impactés par les réalisations du Ministère dédié.
En voici quelques unes :
Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté,
En matière de promotion de la famille, le nombre de familles ayant bénéficié de formation en gestion du budget familial, planning familial et communication constructive, en épargne du budget familial et en promotion des valeurs morales et familiales est passé de 6 200 en 2020 à 24 666 en 2023.
En 2011, la situation des transports en Côte d’Ivoire était marquée par la vétusté des infrastructures et du parc auto. Au niveau du secteur ferroviaire, aérien et maritime, les mêmes difficultés étaient présentes.
Le secteur des Transports, de par son caractère transversal, a joué un rôle majeur depuis 2011, dans l’attractivité et le développement économique de la Côte d’Ivoire. Du renforcement des infrastructures à la régulation du secteur, le domaine des transports constitue aujourd’hui l’un des reflets des importants efforts faits sous la gouvernance du Président Alassane Ouattara pour faire de la Côte d’Ivoire un pays moderne.
Que ce soit les infrastructures aériennes, maritimes, ferroviaires, ou routières, de pertinentes réformes ainsi que des projets structurants ont vu le jour depuis 2011.
Ainsi, on a 8 500 km de routes bitumées en 2024 contre 6 514 km en 2011, et 400 km d’autoroutes réalisées contre 142 km en 2011. Et au total, ce sont 769 ponts et échangeurs construits en 2024, face à 327 en 2011.
L’accès à l’électricité et à l’eau potable est plus qu’une réalité pour une grande partie de la population. En 2011, le nombre de localités électrifiées était de 2 851, et est passé à 8 690 en 2025. C’est donc 95,67% des localités électrifiées en juin 2025 contre 33,1% en 2011, et 4 587 952 de ménages ont reçu un abonnement électrique en 2025 contre 1 111 533 en 2011
La production d’eau potable à Abidjan est quant à elle passée de 350 000 m³ par jour à 1 004 944 m³ par jour.
Le secteur des mines connaît lui aussi un essor significatif. De 2011 à 2024, la Côte d’Ivoire est passée de 03 mines à 22 mines, soit 19 nouvelles mines. Et la production d’or brut était de 59,124 tonnes en 2024, contre 12,3 tonnes en 2011. Le nombre d’emplois créés dans les mines en 2024 est de 16 325 contre 6 650 en 2015, soit une hausse de 145,48%.
En 2011, le contexte environnemental national était caractérisé entre autre par :
Aujourd’hui en 2025, la situation environnementale est meilleure.
Tout d’abord, des efforts soutenus ont été entrepris pour moderniser le cadre juridique et institutionnel de la gestion environnementale, ensuite une lutte active a été menée contre les pollutions et le mécanisme de la gestion des risques a été renforcé.
Concernant la réponse au changement climatique, des stratégies claires d’atténuation et d’adaptation ont été mises en œuvre.
Et enfin, des actions structurantes ont été déployées pour la conservation de la biodiversité, et la gestion des aires protégées qui constituent un pilier fondamental de la politique environnementale nationale.
Découvrons le résultat de tous ces efforts :
En 2011, l’analyse du secteur du sport mettait en évidence des difficultés qui entravaient son éclosion.
Il s’agissait essentiellement de l’inadaptation du cadre juridique et institutionnel, de l’insuffisance et la vétusté des infrastructures sportives, de la faible promotion du sport de masse, ainsi que des difficultés de financement du sport.
Pour pallier ces insuffisances, la période 2011-2024 a été marquée par un investissement massif dans les infrastructures sportives, avec un accent particulier sur la préparation de la CAN 2023.
Les principales réalisations comprennent :
Au-delà des infrastructures dédiées à la CAN, des efforts notables ont été déployés pour améliorer la pratique du sport et le cadre de vie des populations à travers la construction et la réhabilitation de complexes sportifs de proximité, d’AGORA urbaines et rurales, et d’aires de divertissement pour la jeunesse (terrains de sport, piscines, promenades en bord de mer).
Concernant la culture et la création artistique, des efforts importants ont été déployés pour la rénovation, la réhabilitation et l’équipement de structures culturelles sur l’ensemble du territoire et pour la promotion des artistes et des industries culturelles.
Ainsi, 07 sites et éléments culturels ont été inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2024 contre 03 en 2012, et 6 070 entreprises culturelles ont été créés en 2024 contre 2 831 en 2012.
L’amélioration de l’offre touristique en Côte d’Ivoire sur la période 2011-2024 a permis d’avoir un nombre total de visiteurs en 2024 de 6,3 millions contre 809 430 en 2011. Le secteur a aussi permis la création de 238 564 emplois en 2024 pour seulement 20 000 emplois en 2011. Et la contribution du tourisme au PIB est passée de 1,8% en 2011 à 8,6% en 2024.
En 2011, le secteur de la Communication et des Médias en Côte d’Ivoire se caractérisait par un cadre législatif et réglementaire peu adapté aux enjeux modernes de la communication et des médias ; une faible couverture audiovisuelle nationale, limitée par la diffusion analogique et des Infrastructures obsolètes et peu adaptées aux évolutions technologiques.
Les secteurs de l’économie numérique faisaient face quant à eux aux défis suivants : une pénétration limitée de l’Internet et des infrastructures insuffisantes ; des prix élevés des services et une pénurie de matériel et d’équipements et une insuffisance de compétences numériques et des inégalités d’accès à la formation.
De 2011 à 2025, le Gouvernement a engagé une réforme ambitieuse pour moderniser ce secteur stratégique de la Communication et des Médias, avec des avancées majeures sur les plans institutionnel, juridique, infrastructurel et technologique.
Au compte des réalisation, on dénote :
Le taux de pénétration d’internet qui se situait entre 5 et 10% en 2011, est passé à 50% en 2023.
Le taux de pénétration de téléphonie mobile est passé de 76,75% en 2011 à 185% en 2024.